Deux couples de points antihomologues d'une inversion

[b]Inversions échangeant deux cercles extérieurs l'un à l'autre[/b][br][br]Soit (c), (c’) deux cercles non sécants, de centres O et O’ ; Δ leur axe radical.[br]Une inversion de centre I échange les cercles (c) et (c’).[br][br]Un point M de (c) a pour image M’, intersection bien choisie de (IM) et de (c’).[br]Soit N et N’ un autre couple de points inverses tel que N ne soit pas sur (IM).
Les quatre points M, M’, N et N’ sont sur un même cercle (γ). [br](γ) est globalement invariant par l'inversion.[br][br]Les droites (MN) et (M’N’) sont concourantes en un point P situé sur l'axe radical Δ. P est le centre radical des cercles (c), (c’) et (γ).[br][br][i]Réciproquement[/i], n'importe quel cercle (γ) passant par M et M’ recoupe (c) et (c’) en deux points N et N’ inverses l'un de l'autre.[br]Les droites joignant un point P de l'axe radical aux points M et M’ recoupe (c) et (c’) en deux points N et N’ inverses l'un de l'autre.[br][br]Descartes et les Mathématiques : [url=http://www.debart.fr/ts/inversion_cercles_classique.html]inversion de cercles[/url]

suite récurrentes et graphiques

Le rôle du premier terme d'une suite dans la détermination de ses variations et de sa nature, et la relation entre la position relative de la fonction correspondante avec la première bissectrice.

Peut-on reconnaître la nature et le comportement d'une suite donnée (premier terme et relation récurrente) en traçant la courbe correspondante et en plaçant le premier terme sur le graphique sans faire des pénibles calculs?

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